Psychologue clinicienne et psychanalyste au 4, rue Cambon 75001 Paris

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Psychologue et psychanalyste deuil paris 1er

Du vivre à la question des Deuils, il n’y a qu’un pas …
Conscients de notre mortalité, inconsciemment convaincus de notre immortalité, proposait Freud, nous balayons aisément cette question. 

Tant que la mort n’est pas d’actualité. Tant que le changement n’est pas irrémédiable.

Il y a pourtant les deuils avec lesquels nous composons au jour le jour : donner la vie et devenir parent, finir une histoire d’amour, rompre une longue amitié, terminer ses études, changer de profession, déménager de région, être malade, être atteint d’un handicap ou d’une maladie chronique, prendre de l’âge.
Et quand la mort surgit, s’entame un travail de deuil, vrai processus, tabou sociétal. 

Comment vivre dans sa chair, dans sa psyché, le mourir puis la mort, la sienne ou celle de l’autre ?

Comment y survivre dans une société où ce temps de douleur est oblitéré, où tout doit aller bien, vite, que tout se renouvelle sans cesse ?
Ce processus débutant à l’aube de la vie avec la croissance et ne se terminant avec la mort, a pour socle le deuil originaire, trame de fond des deuils ultérieurs.

Si c’est un processus essentiel de la psyché disait Racamier, nous ne sommes pas, je crois, égaux face à la question de la mort.
Aussi traverser ce processus peut être douloureux même s’il est fécond. Car grandir c’est faire le deuil de l’âge précédent, perdre un être cher, c’est doucement se redéfinir soi-même.
Vivre une crise sanitaire d’une telle ampleur, c’est faire collectivement le deuil d’un fonctionnement antérieur… Et tout cela ne se traverse pas si aisément.
Car Grandir, c’est accepter de perdre.

Psychologue spécialiste deuil paris 1er

Psychanalyste Véra Fakhry
4 rue Cambon
75001 Paris